Inter*
L’intersexualité ou l’intersexuation collectivement fait référence à des phénomènes cliniques très différents avec des causes biologiques différentes, tels que des déviations dans les chromosomes sexuels ou des troubles du développement hormonal génétiquement déterminés.
L’intersgenre est attribuée aux déviations dites de différenciation sexuelle(troubles du développement sexuel: DSD). Cependant, DSD comprend également des cas qui ne se démarquent pas avec un organe génital ambigu à la naissance.Dans la littérature, la fréquence d’un organe génital ambigu à la naissance est estimée à environ 1:4500 à 5500, d’autres estiment le nombre d’interespèces en Allemagne à environ 0,2% de la population ou 0,007% des nouveau-nés.
Selon les entrées extrapolées, l’option plus récente d’avoir l’entrée de genre «diverse», qui est possible depuis le 22 décembre 2018, a été utilisée dans environ 150 cas (0,00019% de la population) par les bureaux d’état civil en Allemagne jusqu’en mai 2019, ce qui équivaut à une estimation de 150 nouveau-nés intersthèses par an.La CIM-10-GM-2018 de l’Institut allemand de documentation et d’information médicales (DIMDI) mentionne également des malformations congénitales des organes génitaux, en particulier un sexe indéfini et un pseudohermaphrodismedans le chapitre XVII (Malformations congénitales, déformations et anomalies chromosomiques).Les personnes touchées rejettent principalement le terme médical pathologisant du trouble et se réfèrent à elles-mêmes comme des personnes intersexuées,intersexuées, intersexuées. Depuis 2015, l’Association médicale allemande parle également de « variantes / troubles du développement sexuel » afin d’éviter une pathologisation discriminatoire du point de vue des personnes touchées. L’orthographe inter*est également utilisée, où l’astérisque * représente les auto-désignations mentionnées et d’autres auto-désignations possibles.Parfois, il y a aussi le terme troisième sexe,qui n’est pas accepté par tout le monde. Dans le monde anglophone, on peut également observer que les personnes interspectapositionnent utilisent de plus en plus le terme historique« hermaphrodite »comme auto-désignation, en particulier en réponse au « désordre » imposé, même rimé de manière créative sur « droits de l’homme ».La newsletter de l’ISNA maintenant inexistante s’appelait Hermaphrodites with Attitude.
